Samedi 17 décembre 2016 (1) ou Ajaccio cité impériale partant à la rencontre du Vin Mariani à la coca de Bolivie.

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La bouteille qui va faire l’évènement en 2017. Dr.

   Tout débute quelques mois auparavant. Le 3 octobre 2016, notre ami Christophe Mariani à sa demande a le plaisir d’être reçu par l’Ambassadeur de Bolivie à Paris, son excellence Jean Paul Guevara Avila (Petit neveu du Che). Ce dernier au vu des éléments présentés par le ré inventeur du Vin Mariani à la Coca de Bolivie prend la décision de venir sur l’île à titre privé afin de mieux analyser cette démarche.

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Paris début octobre 2016. Dr A.D.

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Avenue du Président Kennedy où se situe l’Ambassade de l’Etat plurinational de Bolivie. Dr : A.D.

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Monsieur l’Ambassadeur en compagnie de Christophe Mariani dans les locaux de l’ambassade de Bolivie. Dr : A.D.

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Monsieur l’Ambassadeur en compagnie de Christophe Mariani dans les locaux de l’ambassade de Bolivie. Dr : A.D.

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Monsieur l’Ambassadeur en compagnie de Christophe Mariani dans les locaux de l’ambassade de Bolivie. Dr : A.D.

   Sur place en Corse et durant près d’une semaine, tout se passe pour le mieux. À tel point que cela débouche par une décision politique. Un Vice-ministre Bolivien en exercice sera officiellement présent le 17 décembre 2016 à Ajaccio pour parrainer le lancement officiel et international du Vin Mariani à la coca de Bolivie (2). Félipe Caceres membre du gouvernement d’Evo Morales est désigné et mandaté pour assister à cette présentation. N’oublions pas non plus de préciser dans cette logique qu’un autre déplacement est décidé. Celui de Mme Yin Vincent-Gu de nationalité Franco-chinoise ambassadrice et responsable pour la revue Vin de France de la version en langue chinoise.

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Dr : A.D.

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Dr : A.D.

   Puis vint le moment tant attendu.  À 19 heures 30 au Palais des Congrès d’Ajaccio, tout commence dans cette somptueuse salle Tino Rossi baignée par les reflets de la lune face à la Méditerranée.

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Dr : A.D.

   Le Vice-ministre fait son entrée, accompagné de M. José De Acha, chargé d’affaires de l’Ambassade de Bolivie et de M. Freddy Monasterios, Directeur général de la Défense sociale pour la Bolivie. Ils sont reçus par Christophe Mariani et sa compagne Céline Tent dans un espace où se concentre déjà une centaine d’invités.

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Céline Tent et Christophe Mariani accueillant le Vice-ministre Félipe Caceres. Dr.

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Accolade entre Christophe Mariani et le Vice-ministre Félipe Caceres. Dr.

   À peine installé, le ministre est sollicité par la presse.

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Angelina Risterucci de FR3 Corse questionnant le Vice-ministre. Dr : A.D.

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Angelina Risterucci de FR3 Corse préparant l’entrevue télévisée du Vice-ministre. Dr : A.D.

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Mme Yin Vincent-Gu responsable pour la revue Vin de France de la version en langue chinoise et M. José De Acha, chargé d’affaires de l’Ambassade de Bolivie. Dr.

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De gauche à droite : Un cameraman, Christophe Mariani, M. le Vice-ministre Félipe Caceres, M. José De Acha, chargé d’affaires de l’Ambassade de Bolivie , moi-même et de dos M. Freddy Monasterios, Directeur général de la Défense sociale pour la Bolivie. Dr.

      La soirée pouvait ensuite poursuivre sa belle dynamique. Parmi tous les convives, nous pûmes apercevoir le maire de Pero-Casevechie. Sans oublier M. Antoine Maestrali, Directeur de Cabinet du Président de la communauté d’Agglomération du Pays Ajaccien.

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Une foule nombreuse. Dr : A.D.

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Des invités en grand nombre. Dr: A.D.

  Dans l’assistance, on vit soudain apparaître une charmante créature (Tatiana Da Costa) toute droite sortie de la célèbre affiche de Jules Chéret. C’est surtout aujourd’hui l’ambassadrice en personne du Vin Mariani à la Coca de Bolivie (3).

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L’ambassadrice en titre du Vin Mariani à la Coca de Bolivie plus connue sous le beau prénom de Tatiana. Dr : A.D.

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  Dans une salle comble, Christophe Mariani donnait tout d’abord la parole à M. le Député-Maire d’Ajaccio, M. Laurent Marcangeli, puis à M. Le Vice-ministre bolivien Félipe Caceres, à moi-même et pour clôturer tous ces propos à M. le Dr Edmond Siméoni.

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M. Laurent Marcangeli, Député-Maire d’Ajaccio lors de sa prise de parole lors de cette belle rencontre du 17 décembre 2016. Dr.

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M. Laurent Marcangeli, Député-Maire d’Ajaccio à la table du Vice-ministre bolivien M. Félipe Caceres. Dr.

   Cette réunion festive en l’honneur du Vin Mariani à la coca de Bolivie se poursuivit jusqu’à très tard dans la nuit sur l’agréable son du groupe musical Bande à part.

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                                                                                                                                     A.D

(1) Cette date n’a pas été choisie au hasard puisqu’elle correspond au 178e anniversaire de la naissance d’un certain Ange-François Mariani au village de Pero-Casevecchie.

(2) Caroline Marcelin : Lancement officiel et international du Vin Mariani, Corse-matin, jeudi 15 décembre 2016.

(3) http://www.vinmariani.fr

Angelo Mariani et les cartes postales.

   On le sait Angelo Mariani apparaît sur de nombreuses cartes postales (Fontaine de Valescure) (Villa Mariani à Villers-sur-Mer) (Les petits Éclaireurs Raphaëlois à la Villa Andréa) et (Le Salon des Artistes Français)…

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Carte postale éditée en 1912 à partir du tableau de Jules Grün.

   Notre industriel et mécène saisit très vite l’impact publicitaire de ce support qui voyage dans le monde entier. Mariani décide donc de décliner les nombreux dessins de peintres, sculpteurs et dessinateurs parus dans les Figures contemporaines sous le format d’une carte postale ayant comme base un très beau papier Bristol. Il finit par publier en 1901 une belle série de 120 cartes postales à la gloire de son vin à la coca. Cet élément publicitaire est destiné à être expédié par la poste en quatre pochettes contenant chacune un jeu de trente cartes. De type monochrome, ces cartes furent distribuées en grandes quantités. L’ensemble étant vendu au prix modique de dix centimes de l’époque pour chacune des quatre séries.

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Pochette de Cartes Postales, Collection Mariani, Troisième série contenant trente éléments.

   Une cinquième série toujours de trente cartes est décidée en 1912. On arrivera ainsi à un total de 150 cartes postales au format (9×14 cm) vantant les mérites du Vin Mariani. Très rares sont les cartophiles en ce XXIe siècle qui peuvent prétendre être en possession de la totalité de ces cartes postales. Cet ensemble réunit les reproductions des œuvres de «140» artistes et forment cinq séries de trente cartes postales chacune :

   Première série : Paul Avril. Ferdinand Roybet. Charles Waltner. Lucien Lévy-Dhurmer. Georges Meunier. Paul Renouard. Maurice Berteaux. Alphonse Mucha. Paul Hermann. Eugène Murer. Lacault. Ribéra. Édouard Adler. Léon Glaize. Henri Eugène Augustin Le Sidaner. Paul-Albert Laurens. Louis Noël. Jean Ferigoule. Adolphe Lalauze. Auguste Hagborg. Enrique Atalaya. William Bouguereau. Albert Maignan. Jules Cheret. De Richemont. Charles Bigot. Georges Goursat dit Sem. Charles Léandre. Louis Vallet.

   Deuxième série : Adolphe Giraldon. Luc-Olivier Merson. Maurou. Louis Tinayre. Gabriel Ferrier. Charles Cottet. Edgar Maxence. Francisque Desportes. Henry Caro-Delvaille. André Brouillet. Georges Lemaire. Xavier Alphonse Monchablon. Eugène Carrière. Léonletto Cappiello. Frédéric Montenard. Jules Girardet. Jules Alexandre Grün. Léon Comerre. Georges Antoine Rochegrosse. Louis Eugène Mouchon. Gaston Gérard. École du XXè arrondissement de Paris. Dr Dupont au Sénégal. Oscar Roty. Emmanuel Frémiet. Jean Léon Gérome. Albert Besnard. H. Tenré. Albert Robida. Evert Van Muyden.

   Troisième série : Paul Avril. Georges Haquette. Weincker. Jean Dagnan-Bouveret. Émile Boisseau. Lequesne. Antonio de la Gandara. Albert Dawant. Moncel. Mlle Clémentine-Hélène Duffau. Tony Robert Fleury. Raymond Sudre. Lepère. Marius Perret. Eugène Boverie. Weecks. Osvaldo Tofani. José Frappa. Maurice Leloir. François Flameng. Henri Zo. Pascal Blanchard. Ernest Courtois de Bonnencontre. Firmin Bouisset. Abel Faivre. Jean-Pierre Laurens. Jules Renard Draner. Paul Chocarne-Moreau. Girardot. Marcel Dieulafoy.

   Quatrième série : Albert Robida. William Turner Dannat. Mme Jeanne Clovis Hugues. Victor Peter. Navellier. Étienne Dinet. Eugène Chaperon. Georges Picard. Paul Avril. Mars. Guillaume Dubuffe. Job. Jacques Wély. Paul Chabas. Dr Alphonse Milne Edwards. Léon Lhermithe. René de Saint-Marceaux. Fernand Cormon. Jean Gardet. Gustave Toudouze. Weerts. Georges Cain. Bernard Boutet de Monvel. Pierre Franc-Lamy. Albert Robida. Lucien Simon. Victor Gilbert. Abel Truchet. Frédéric Régamey. Evert Van Muyden.

   Cinquième série : Raoul Verlet. Henri-Daniel-Casimir-Paul Thouroude dit Daniel de Losques. Henri de Sachy. Charles Pezeu-Carlopez. Herbert Ward. Paul Gasq. Albert Lynch. Louis Patriarche. Goussé. Francisque Poulbot. Kauffmann. Henri Zislin. Jean Jacques Waltz dit Hansi. Henri Jacquier. André Beaumont, aviateur dit (Lieut. Jean Conneau). JulesVédrines, aviateur. Maurice Tabuteau, aviateur. Alfred Leblanc, aviateur. Théophile Alexandre Steinlen. Fabiano. Maurice Albert Joseph Simon Lefebvre, dit Lefebvre-Lourdet ou Lourdey. Gabriele Galantara. Fillettes de l’Orphelinat des Arts. Enfants du professeur Stebbing. Georges Redon. Maurice Neumont. Maxime Mautra. Benjamin Rabier. Jean Boyer dit Moriss. Auguste Roubille.

   Cela étant Angelo Mariani réédite parfois certaines cartes postales en changeant la présentation. D’horizontale, elles se transforment en verticale. Ou inversement. Ce qui complique encore un peu plus la problématique du nombre de cartes postales Mariani réellement publié….Angelo Mariani pousse même le luxe de créer des enveloppes illustrées de son produit accompagnés de timbres qui eux n’avaient pas d’existence légale auprès du service postal.

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Timbre Mariani non officiel issu d’une publicité vers 1905.

   Cette idée de carte postale vantant la coca fut ensuite utilisée bien des années plus tard par d’autres comme en témoigne en 1979 par exemple la société Coged basée à Milan (Italie).

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Carte Postale, recto.

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Verso de la carte postale éditée en 1979.

   Aujourd’hui en cette fin d’année 2016, Christophe Mariani poursuit cette aventure en retenant là encore le choix d’un format Carte postale (9×14 cm), en hommage à Angelo Mariani afin d’annoncer officiellement la présentation et la dégustation du Vin Tonique Mariani 2016 qui succède à son mythique prédécesseur.

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Format Carte Postale recto 2016.

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Format Carte Postale verso 2016.

   Angelo Mariani l’a où il est, à coup sûr doit apprécier ce geste. Tout cela au final nous fait entrevoir une simple idée ? À quand la réalisation d’un timbre à l’effigie d’Angelo Mariani ? A.D

   Pour plus d’informations, on peut aller sur le très beau site : www.vinmariani.fr et parcourir le livre suivant :

livreangelomariani1.jpegAngelo Mariani : L’inventeur de la première boisson à la coca. Éditions Anima Corsa, juin 2014, Bastia. 5 boulevard Hyacinthe de Montera : 04 95 48 68 86.

Une bouteille Mariani à la coca au Musée François Tillequin à Paris.

 

   En surfant il y a quelques mois sur le magnifique site internet de la Société d’Histoire de la Pharmacie www.shp-asso.org nous vîmes un très beau texte intitulé : Les vins médicinaux et le cas du vin Mariani. À cela s’accompagnaient plusieurs photographies réalisées par Monsieur Bruno Bonnemain, son secrétaire général. L’une d’entre elles attira notre curiosité. On y voyait une bouteille de vin Mariani à la coca. Une idée nous vint à l’esprit : pourrait-on un jour observer de près cette fameuse bouteille Mariani ?

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Dr : Monsieur Bruno Bonnemain, secrétaire général de la société d’histoire de la Pharmacie. La bouteille Coca Mariani se situe à la cinquième place en partant de la droite de la photographie.

   À l’occasion de la journée européenne du patrimoine du samedi 17 septembre 2016, l’opportunité nous était alors offerte de visiter à la faculté de Pharmacie de Paris (1), la célèbre salle des Actes, ainsi que le Musée de collection de Matière Médicale.

Banderolle d'information. Sept 2016, Paris.

Banderole d’information. Sept 2016, Paris.

Fronton de la faculté de pharmacie.

Fronton de la faculté de pharmacie.

Vue extérieure du bâtiment.

Vue extérieure du bâtiment.

   À l’entrée du bâtiment nous fumes reçu par Madame Samantha Conti en charge de la communication de l’Université Paris-Descartes, puis par le Professeur Olivier Lafont, président de la Société d’Histoire de la Pharmacie. Ce dernier nous fit admirer avec élégance pas moins de quatre-vingt-dix portraits de maîtres apothicaires et de pharmaciens célèbres tout en retraçant l’évolution de l’histoire de la pharmacie en France. Ce fut un moment passionnant dû au talent oratoire de l’intervenant.

Vue intérieur en partie de la salle des Actes.

Vue intérieure en partie de la salle des Actes.

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Portrait du pharmacien Henri Moissan prix Nobel de chimie en 1906 par Paul Saïn. Ce fut un contemporain d’Angelo Mariani.

   Dans un second temps, les portes du musée François Tillequin s’ouvrirent. Moment tant attendu. Quel ne fut pas notre étonnement. Nous fumes tout d’abord accueillit là encore avec courtoisie par Monsieur Thomas Gaslonde, Ingénieur d’études et de recherche en Pharmacognosie qui nous expliquât que ce lieu de 450 m2 détenait plus de 25 000 échantillons de plantes accompagnés d’objets divers et variés. On apprit en outre par sa voix, que cette immense collection fut commencée dès 1882. Pour plus d’informations on peut se reporter à son ouvrage concernant le musée (ci-dessous).

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Thomas Gaslonde, Musée François Tillequin, Editions Université Paris Descartes, 2015, Paris.

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Vue intérieure du Musée.

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Vue intérieure du Musée.

   En charge de ce magnifique lieu, et passionné par ce musée Monsieur Thomas Gaslonde nous fit partager avec grand bonheur son savoir sur l’histoire des huiles essentielles. Enfin et surtout qu’elle ne fut pas notre émotion d’observer dans une partie de la structure connut sous l’appellation de la pagode, la fameuse bouteille.

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Vitrine principale du Musée dite la pagode ou se trouve la bouteille de Coca Mariani.

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La bouteille vin Mariani à la coca trônant en majesté.

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Gros plan sur la bouteille pleine du Vin tonique Mariani à la coca.

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On peut remarquer en bas de l’étiquette son numéro de série. Angelo Mariani a été l’un des premiers en Europe à lancer l’idée de traçabilité de son produit.

   Au vu de son format et de l’étiquette adjointe, on peut émettre l’hypothèse suivante, sous toute réserve, sachant que nous n’avons pas eu l’objet entre les mains. Cette bouteille semble correspondre à la période ou le pharmacien Jacques Mariani (1875-1935) fils d’Ange-François Mariani (1838-1914) officiait car la mention à la coca du Pérou n’est plus présente sur le flacon (2). Cela étant, on constate aussi en arrière-plan de ladite bouteille, une reproduction en date de 1986 de l’affiche de Jules Chéret (1836-1932). Restons donc prudent sur l’origine de ce récipient et peut-être qu’un jour prochain, on pourra en savoir un peu plus sur cet élément patrimonial.

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La famille Mariani en sa qualité de pharmacien fut durant le XXe siècle l’un des bienfaiteurs et mécènes les plus réguliers pour la Société d’Histoire de la Pharmacie.

   Nous profitons enfin de ce modeste compte rendu sur la présence d’une bouteille Mariani à la coca dans un musée parisien en septembre 2016 pour préciser une date à venir essentielle et incontournable :

   Notre ami Christophe Mariani responsable de la société Coca-Mariani vient de nous informer de sa nouvelle création : Le breuvage similaire à celui d’Angelo Mariani qui sortira en Corse à Ajaccio, en avant-première, le 17 décembre 2016. Au Palais des Congrès à Ajaccio (Corse), salle Tino Rossi à 19 heures pour être très précis.

   Soit dans moins de quatre-vingts jours. Un produit tant attendu dans la dynamique de la renaissance du vin Mariani avec de surcroît le soutien moral de la famille Mariani. Notons que cette date n’a pas été, semble-t-il choisie au hasard puisse qu’elle correspond au 178e anniversaire de la naissance d’un certain Ange-François Mariani, plus connu au niveau international (États-Unis, Canada, Colombie, Bolivie, Grande-Bretagne, Suède, Allemagne, Russie et Chine, entres autres…) sous le nom d’Angelo Mariani (3). On se doit de soutenir pareille initiative. Bonne chance à la ressurection du vin tonique Coca Mariani.

                                                                                    A.D

(1) La Faculté de Pharmacie de Paris de l’Université Paris Descartes est la plus importante parmi les 24 autres sites d’École de pharmacie que compte aujourd’hui le territoire national. À noter que c’est un Corse, un certain Napoléon Bonaparte en octobre 1803, alors premier consul, qui créa l’école de pharmacie à Paris alors située rue de l’Arbalète. Il faudra attendre 1882 pour acter son déménagement au 4, avenue de l’Observatoire.

(2) Le petit fils Angelo Mariani (1914-1978) sera lui aussi pharmacien et poursuivra avec beaucoup d’intelligence et de travail l’oeuvre familiale débutée en Corse par son arrière-grand-père François-Xavier Mariani (1810- 1875) et ce jusque dans les années soixante-dix à Neuilly-sur-Seine.

(3) Pour plus d’informations, on peut aller sur le très beau site : www.vinmariani.fr et parcourir le livre suivant :

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Angelo Mariani : L’inventeur de la première boisson à la coca. Éditions Anima Corsa, juin 2014, Bastia. 5 boulevard Hyacinthe de Montera : 04 95 48 68 86.